Kong : Skull Island
Warner Bros

Le réalisateur a notamment avoué son admiration pour Princesse Mononoké.

TF1 programme une soirée monstrueuse pour ce premier dimanche de 2022 : Kong : Skull Island (2017) sera suivi de Jurassic Park (1993). Avant de les (re)voir, Première vous propose quelques anecdotes sur ces deux films.

 
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Il n’aura pas échappé aux spectateurs que le reboot de la franchise King Kong, Kong : Skull Island réalisé par Jordan Vogt-Roberts, présente un bestiaire diversifié en plus du mythique gorille géant. Dans une interview donnée à JoBlo et reprise par SlashFilm, le réalisateur est revenu sur la création de ces créatures et son amour inconditionnel pour l’univers du japonais Hayao Miyazaki :

"Les créatures étaient le gros défi du film. Si Kong est le Dieu de son île, nous voulions que chaque bête soit comme le Dieu de son propre domaine. Miyazaki et son Princesse Mononoké étaient de grosses références car les esprits des créatures du film habitaient leurs propres environnements et ne pouvaient pas vivre sans ça. Un autre défi était de créer des bêtes à l’allure réaliste qui pourraient exister dans un écosystème sauvage. Il fallait que leurs designs soient également beaux et effrayants à la fois. Quand vous voyez cette araignée géante ou ce buffle, vous restez bloqués dessus en vous disant : "C’est la chose la plus incroyable que j’aie jamais vu" et après "Oh mon dieu, ça va me tuer, je dois sauver ma peau !" C’est ce que j’ai toujours préféré chez Miyazaki, il sait retranscrire la beauté du monde sans jamais oublier que la nature, réelle ou fictionnelle, est violente, impardonnable et indifférente aux sentiments humain."

Bande-annonce de Kong : Skull Island 


Kong : Skull Island est un réjouissant tour de grand huit