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Le secret d'Al Pacino pour supporter le succès du Parrain : "J'étais ivre"

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Le secret d'Al Pacino pour supporter le succès du Parrain : "J'étais ivre"

Le secret d'Al Pacino pour supporter le succès du Parrain : "J'étais ivre"

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Le secret d'Al Pacino pour supporter le succès du Parrain : "J'étais ivre"

Le secret d'Al Pacino pour supporter le succès du Parrain : "J'étais ivre"

Pendant cinquante-sept minutes pour The Hollywood Reporter, Al Pacino a fait le bilan de sa vie, de sa carrière et s'est rappelé à son bon souvenir ses débuts.De son film préféré de la saga du Parrain aux rumeurs d'un rôle de super héros avec les studios Marvel, Al Pacino dit tout.L’ascension fulgurante d'Al Pacino et sa célèbre célébrité sont nées en 1972 avec Le Parrain.Pour The Hollywood Reporter, l'acteur de 74 ans a accepté de jouer le jeu du souvenir et décrit en toute franchise ses premiers jours de succès : "Je ne savais pas ce qui m'arrivait. J'étais en état d’ébriété la plupart du temps, je me suis engourdi la tête pour ne pas m'en rendre vraiment compte".Et même si sa prestation mythique de Michael Corleone lui a valu une nomination aux Oscars, ce n'est qu'en se rendant compte de sa notoriété dans la rue qu'Al Pacino a réalisé qu'il n'était plus nobody : "Je me souviens, je marchais dans les rues de New York et à un angle de rues j'ai remarqué une jeune femme très séduisante. Je lui ai dit 'Salut', elle m'a regardé et m'a répondu 'Salut Michael'. A ce moment là, j'ai su, je n'étais plus un anonyme et il n'y avait pas possibilité de faire marche arrière".S'en suivent six années d'euphorie, de succès et cinq nominations aux Oscars (Le Parrain, Serpico, Le Parrain II, Dog Day AfternoonAnd Justice For All): "Ça a été comme un explosion : cinq films, cinq oscars. J'ai tout explosé avec le Parrain".Mais Al Pacino est honnête, ses années de gloire ont été teintées de névroses, hors de contrôle : "Je buvais, je m'amusais, je tournais des films, j'arrêtais de m'amuser, j'avais l'impression de mourir, de devenir fou et je continuais encore et encore. Je ne réalisais pas vraiment, mais tout ça était explosif" reconnait-il.C'est finalement l'acteur Lee Strasberg "un ami très cher, mon mentor" qui va l'aider en donnant à Pacino le conseil de sa vie : "Il m'a dit 'Chéri, il faut juste s'adapter'".Aujourd'hui Al Pacino a tourné la page à Michael Corleone et à ses années d'excès. Désormais, il partage l'affiche, dans un tout autre registre - sur fond de prophète biblique - avec Jessica Chastain, dans Salomé. Mais aussi surprenant que cela puisse paraître, la belle actrice rousse de 36 ans lui rappelle un certain acteur du ParrainMarlon Brando. Explication : "J'étais en plein casting pour Salomé. J'ai rencontré beaucoup de grandes actrices. Et puis un jour, cette fille est arrivée. Elle a juste dit 'Salut'. Je savais qu'elle était là parce qu'on me l'avait recommandée et j'avais entendu dire qu'elle était intéressée par le rôle. Puis elle a commencé la lecture du script. Et là je n'arrivais pas à croire ce que je voyais. Je me suis retourné vers Robert Fox [producteur], je lui ai demandé si j'étais en train de rêver, il m'a répondu que non. J'ai continué à la regarder en me disant : 'C'est une prodige'. C'était incroyable. C'est comme si elle était Marlon Brando ou quelque chose comme ça. Aujourd'hui c'est une grande star".Du son film du Parrain préféré ("Le premier, pour l'histoire") à ses débuts à l'Actors Studio et le réalisateur avec qui il rêverait de tourner ("Martin Scorsese"), découvrez l'intégralité des confessions d'Al Pacino, en 57 minutes et 35 secondes. MC