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Natalie Portman : "Je suis prête à jouer en français pour le réalisateur qui me fera confiance"

Natalie Portman est prête à jouer en français si on lui offre l'opportunité

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Natalie Portman est prête à jouer en français si on lui offre l'opportunité

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Natalie Portman est prête à jouer en français si on lui offre l'opportunité

Exilée à Paris pour suivre son mari, le chorégraphe Benjamin Millepied nommé à la direction du ballet de l'Opéra de Paris, Natalie Portman a accordé une interview spéciale France à Madame Figaro.La superbe actrice qu'on retrouve en future mariée rebelle dans le tout nouveau spot Miss Dior y raconte ses premiers pas de Parisienne. Même si elle connaissait déjà bien la ville avant de s'y installer, pour y être très souvent venue avec son époux, Paris "l'émerveille toujours" : "Paris est une ville historique, ancrée dans son classicisme et ses institutions. Sa beauté est une inspiration quotidienne. L’art et la culture s’y trouvent à tous les coins de rue. Le simple fait, par exemple, de pouvoir pousser la porte d’une librairie indépendante dans chaque quartier, par opposition à New York, où je serais en peine d’en trouver ne serait-ce qu’une seule, m’émerveille toujours."L'héroïne de Black Swan, qu'on retrouvera dans le prochain Terrence Malick Knight of Cups, voue également une admiration sans bornes à la Parisienne, cet "être à part" : "Ce sont des êtres à part. Je les observe tout le temps, j’ai beaucoup à en apprendre. Je n’ai toujours pas vu une Parisienne se promener en short, en vêtement de sport ou en tongs dans la rue. Ici, même les enfants sont chics ! Toute ma vie, au quotidien, j’ai privilégié le confort plutôt que le style ou la mode. Désormais, je fais davantage d’efforts pour m’habiller, aussi bien quand je travaille que quand je m’occupe de mon fils, en famille ou avec mes amis. Il suffit d’un rien, pas besoin de se maquiller pendant des heures, mais je me suis découvert un vrai goût pour cette élégance décontractée typiquement française."Évoquant son premier film en tant que réalisatrice, tourné en hébreu, celle qui est née en Israël mais a grandi à Los Angeles se dit également prête à jouer dans la langue de Molière, qu'elle a apprise. Et fait un appel du pied au cinéaste qui saura lui laisser sa chance : "Jouer en hébreu m’a donné une confiance en moi que je n’avais pas, celle de jouer dans d’autres langues que je ne parle pas couramment. Je suis prête à essayer en français pour le réalisateur qui me fera suffisamment confiance !"