Toutes les critiques de The Visit

Les critiques de Première

  1. Première
    par Frédéric Foubert

    M. Night Shyamalan était un homme à terre. Un cinéaste en perdition, lessivé par les critiques assassines, les échecs commerciaux et les navets. Le voir revenir aux affaires sous pavillon Blumhouse (la boîte de production de Jason Blum, le pape de l’horreur sous vide) avait de quoi filer les jetons. Miracle : le très fauché "The Visit" restera dans l’histoire comme le moment où on a repris foi en lui. Loin d’être le cache-misère redouté, le principe du found footage (le film se présente comme un docu tourné par les deux jeunes sur leurs retrouvailles avec leurs aïeux) lui sert de miroir tendu à son art. Comme un mea-culpa, une autocritique, où l’ex-enfant prodige se demanderait comment poursuivre son chemin une fois délesté de ses effets de signature. Le roi est nu ? Oui et, bizarrement, ça le fait marrer. "The Visit" est innervé par un sens de l’humour tordu, stressant, celui d’un homme qui n’a plus rien à perdre et jette ses dernières forces dans la bagarre. Mouflets têtes à claques, parties de Yahtzee qui dégénèrent, croquemitaines incontinents... voici un document vibrant sur l’enfer du troisième âge. Tordant, joliment mélo, vraiment flippant. Et maintenant que la récré est finie, ne reste plus à espérer que Shy tourne à nouveau un vrai grand film.

Les critiques de la Presse

  1. A nous Paris
    par La rédaction d' A nous Paris

    (...) M. Night Shyamalan n’a rien perdu de son savoir-faire pour les apparitions fugaces et les images dérangeantes. Au point de réussir ce film choc qui fait qu’on n’avait pas eu aussi froid dans le dos depuis longtemps.

  2. MyTF1News
    par Romain Le Vern

    Dynamitant les conventions bêtasses du found footage afin de donner à réfléchir sur le pouvoir des images, The Visit, conte merveilleux où l'on rit, où l'on a peur, où l'on est ému, appartient totalement au réalisateur d'Incassable, en pleine renaissance artistique. 

  3. Excessif / TF1 News
    par Romain Le Vern

    Dynamitant les conventions bêtasses du found footage afin de donner à réfléchir sur le pouvoir des images, "The Visit", conte merveilleux où l'on rit, où l'on a peur, où l'on est ému, appartient totalement au réalisateur d'Incassable, en pleine renaissance artistique.

  4. CinémaTeaser
    par Aurélien Allin

    Ce joli retour en forme, assez humble et discret, s’avère presque anecdotique comparé à ce que Shyamalan fait de The Visit : un commentaire acerbe sur un cinéma contemporain contaminé par l’esthétique de la télé-réalité et les poncifs du found footage. 

  5. CinémaTeaser
    par Aurélien Allin

    Ce joli retour en forme, assez humble et discret, s’avère presque anecdotique comparé à ce que Shyamalan fait de "The Visit" : un commentaire acerbe sur un cinéma contemporain contaminé par l’esthétique de la télé-réalité et les poncifs du found footage.

  6. A nous Paris
    par La rédaction d' A nous Paris

    (...) M. Night Shyamalan n’a rien perdu de son savoir-faire pour les apparitions fugaces et les images dérangeantes. Au point de réussir ce film choc qui fait qu’on n’avait pas eu aussi froid dans le dos depuis longtemps.

  7. New York Times
    par Manohla Dargis

    M.Night Shyamalan, le réalisateur, a l'oeil et la manière, naturelle et sympa, de travailler avec les acteurs. Et il est doué pour vous taper sur les nerfs gentiment. 

  8. Rolling Stone
    par Peter Travers

    The Visit ne joue pas dans la même catégorie que Le Sixième Sens, mais Shyamalan met fin à une longue période sèche avec ce film. Je ne spoile pas, si ce n'est pour dire que les sensations fortes bas de gamme peuvent malgré tout être l'éclate totale. 

  9. Rolling Stone
    par La rédaction de Rolling Stone

    Entre film d’horreur, d’épouvante et thriller angoissant, The Visit propose une ambiance étouffante.

  10. Chicago Reader
    par Ben Sachs

    Les changements de ton de Shyamalan sont impressionnants - il arrive à vous faire rire avec le comportement bizarre des grands-parents, uniquement pour plonger dans l'horreur quand vous vous y attendez le moins. 

  11. Rolling Stone
    par La rédaction de Rolling Stone

    Entre film d’horreur, d’épouvante et thriller angoissant, "The Visit" propose une ambiance étouffante.

  12. New York Post
    par Sara Stewart

    Dunagan et McRobbie s'éclatent avec leur rôle respectif, alternant entre les bizarreries de tous les jours des grands-parents et un comportement qui aurait sa place dans l'Hôtel Overlook (l'hôtel du film Shining ndlr). Le jeune duo forme, dans l'ensemble, une paire charmante de narrateurs. 

  13. Télérama
    par Jacques Morice

    Le film réussit ce pari d'être à la fois flippant et drôle, sans jamais basculer dans la parodie. On regrette juste la fin, un peu larmoyante et superflue. Sinon, il s'agit bien pour M. Night Shyamalan d'un vrai regain d'énergie. 

  14. Vulture
    par David Edelstein

    Un film d'horreur banal, façon faux documentaire, qui marche vraiment comme un sort démoniaque.

  15. Télérama
    par Jacques Morice

    Le film réussit ce pari d'être à la fois flippant et drôle, sans jamais basculer dans la parodie. On regrette juste la fin, un peu larmoyante et superflue. Sinon, il s'agit bien pour M. Night Shyamalan d'un vrai regain d'énergie.

  16. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Le concept des enfants en péril a toujours fait trembler et Shyamalan place les siens dans des situations réellement flippantes, renforcées par des bruitages et angles de caméra parfaits. Et sans se prendre au sérieux.

  17. Detroit News
    par Tom Long

    Il y a un plaisir évident à regarder un couple d'acteurs vétérans devenir bizarre avec deux nouveaux venus. "The Visit" en mérite bien une, de visite.

  18. StudioCiné Live
    par Véronique Trouillet

    Le concept des enfants en péril a toujours fait trembler et Shyamalan place les siens dans des situations réellement flippantes, renforcées par des bruitages et angles de caméra parfaits. Et sans se prendre au sérieux.

  19. New York Times
    par Manohla Dargis

    M.Night Shyamalan, le réalisateur, a l'oeil et la manière, naturelle et sympa, de travailler avec les acteurs. Et il est doué pour vous taper sur les nerfs gentiment.

  20. Rolling Stone
    par Peter Travers

    "The Visit" ne joue pas dans la même catégorie que "Le Sixième Sens", mais Shyamalan met fin à une longue période sèche avec ce film. Je ne spoile pas, si ce n'est pour dire que les sensations fortes bas de gamme peuvent malgré tout être l'éclate totale.

  21. Les Inrocks
    par Jean-Marc Lalanne

    Shyamalan livre son film le plus drôle, grinçant et chahuteur. La voie du salut après quelques années de crise.

  22. Chicago Reader
    par Ben Sachs

    Les changements de ton de Shyamalan sont impressionnants - il arrive à vous faire rire avec le comportement bizarre des grands-parents, uniquement pour plonger dans l'horreur quand vous vous y attendez le moins.

  23. Les Inrocks
    par Jean-Marc Lalanne

    Shyamalan livre son film le plus drôle, grinçant et chahuteur. La voie du salut après quelques années de crise.

  24. Le Monde
    par Jean-François Rauger

    Si "The Visit" peut néanmoins être tenu pour une réussite, c’est dans la façon dont le film fonde son régime de peur sur une réalité humainement banale.

  25. New York Post
    par Sara Stewart

    Dunagan et McRobbie s'éclatent avec leur rôle respectif, alternant entre les bizarreries de tous les jours des grands-parents et un comportement qui aurait sa place dans l'Hôtel Overlook (l'hôtel du film Shining ndlr). Le jeune duo forme, dans l'ensemble, une paire charmante de narrateurs.

  26. Le Monde
    par Jean-François Rauger

    Si "The Visit" peut néanmoins être tenu pour une réussite, c’est dans la façon dont le film fonde son régime de peur sur une réalité humainement banale.

  27. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Le résultat est des plus réussis car le réalisateur possède un don remarquable pour faire naître la peur à partir de détails du quotidien. Le spectateur ne regardera plus son four de la même façon après la projection.

  28. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Le résultat est des plus réussis car le réalisateur possède un don remarquable pour faire naître la peur à partir de détails du quotidien. Le spectateur ne regardera plus son four de la même façon après la projection.

  29. Vulture
    par David Edelstein

    Un film d'horreur banal, façon faux documentaire, qui marche vraiment comme un sort démoniaque.

  30. Critikat.com
    par Josué Morel

    (...) le film est de bout en bout source de terreur et de sidération (s’il y a un genre où la sidération fait valeur d’argument critique, c’est bien l’horreur) mais ne parvient pas complètement, pour la première fois chez Shyamalan, à émouvoir.

  31. Detroit News
    par Tom Long

    Il y a un plaisir évident à regarder un couple d'acteurs vétérans devenir bizarre avec deux nouveaux venus. The Visit en mérite bien une, de visite. 

  32. Critikat.com
    par Josué Morel

    (...) le film est de bout en bout source de terreur et de sidération (s’il y a un genre où la sidération fait valeur d’argument critique, c’est bien l’horreur) mais ne parvient pas complètement, pour la première fois chez Shyamalan, à émouvoir

  33. San Francisco Chronicle
    par Peter Hartlaub

    Tout comme dans "Signes" et "Le Village', les films mi-intéressants, mi-bancals de Shyamalan, les promesses du réalisateur sont plus importantes que ce qu'il peut offrir.

  34. Seattle Times
    par Moira MacDonald

    C'est effrayant, bien sûr, mais pas vraiment plaisant (...).

  35. L'Express
    par Eric Libiot

    La chose est assez plaisante, bien que l'horreur y soit trop fade à mon goût - c'est un peu "Evil Dead" version Bibliothèque rose. 

  36. L'Express
    par Eric Libiot

    La chose est assez plaisante, bien que l'horreur y soit trop fade à mon goût - c'est un peu "Evil Dead" version Bibliothèque rose.

  37. L'Humanité
    par Vincent Ostria

    Exercice plaisant.

  38. San Francisco Chronicle
    par Peter Hartlaub

    Tout comme dans Signes et Le Village, les films mi-intéressants, mi-bancals de Shyamalan, les promesses du réalisateur sont plus importantes que ce qu'il peut offrir. 

  39. L'Humanité
    par Vincent Ostria

    Exercice plaisant.

  40. Seattle Times
    par Moira MacDonald

    C'est effrayant, bien sûr, mais pas vraiment plaisant (...)

  41. Miami Herald
    par René Rodriguez

    Voilà un film dans lequel les personnes âgées sont effrayantes parce qu'elles sont séniles, incontinentes et gnangnans et font des choses déconcertantes. Et elles sont, vous savez, si vieilles et ridées.

  42. Chicago Sun Times
    par Richard Roeper

    Hélas, c'est un mélange d'horreur et de comédie noire désagréable, idiot et à moitié effrayant seulement. Il ne marque d'ailleurs que quelques points dans les deux catégories.

  43. Miami Herald
    par René Rodriguez

    Voilà un film dans lequel les personnes âgées sont effrayantes parce qu'elles sont séniles, incontinentes et gnangnans et font des choses déconcertantes. Et elles sont, vous savez, si vieilles et ridées. 

  44. Chicago Sun Times
    par Richard Roeper

    Hélas, c'est un mélange d'horreur et de comédie noire désagréable, idiot et à moitié effrayant seulement. Il ne marque d'ailleurs que quelques points dans les deux catégories. 

  45. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Plus opportuniste que malin, le dernier Shayamalan recycle les idées des autres, brasse le même air vicié, quand son habillage de docu-amateur ne fait que renforcer les petits calculs de producteurs avisés pour l’emporter dans la facilité.

  46. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Plus opportuniste que malin, le dernier Shayamalan recycle les idées des autres, brasse le même air vicié, quand son habillage de docu-amateur ne fait que renforcer les petits calculs de producteurs avisés pour l’emporter dans la facilité.

  47. Ecran Large
    par Laurent Pécha

    On s’ennuie ferme dans cette visite qui promettait d’être bien flippante dans la demeure de grands-parents visiblement pas très nets (à ce titre, le final est d’une paresse visuelle sans nom). 

  48. Ecran Large
    par Laurent Pécha

    On s’ennuie ferme dans cette visite qui promettait d’être bien flippante dans la demeure de grands-parents visiblement pas très nets (à ce titre, le final est d’une paresse visuelle sans nom).

  49. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    Le propos de Shyamalan est peut-être de s'amuser avec le genre mais la sensation qui domine est l'ennui.

  50. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    Le propos de Shyamalan est peut-être de s'amuser avec le genre mais la sensation qui domine est l'ennui.