Toutes les critiques de Morning Glory

Les critiques de Première

  1. Première
    par Stéphanie Lamôme

    Vous obtenez une comédie à la fois vache et romantique, qui offre à Harrison Ford son rôle le plus payant depuis longtemps, celui du personnage odieux qu'on adore détester. (...) Le duo trash qu'il forme avec Diane Keaton, sorte de Sophie Davant prête à toutes les folies pour sortir de sa léthargie ce Télématin américain, recèle les meilleurs gags. Alors forcément, à côté, l'amourette entre Becky, la workaholic et une jeune producteur de la chaîne passe comme une page de pub mais peu importe : on ne zappe pas.

Les critiques de la Presse

  1. Le Figaro
    par Emmanuele Frois

    Une comédie satirico-romantique, sympathique et sans prétention, rythmée comme une partie de ping-pong.

  2. Télé 7 jours
    par Julien Barcilon

    Tonique et sympathique, cette comédie (…) dézingue gentiment le petit monde pas franchement glorieux de la télé (…) et offre à Harrison Ford un rôle de grognon qui lui sied à ravir.

  3. Brazil
    par Benzedrine .

    Le film tient la route surtout grâce à son casting. Harrison Ford, dans la force de l’âge, fait un beau duo avec Diane Keaton. Leur dialogue teinté d’hypocrisie est plutôt distrayant. (…) Mais Morning Glory reste une petite comédie bien sympathique, mais pas très originale.

  4. StudioCiné Live
    par Iris Mazzacurati

    De la part du réalisateur de Coup de foudre à Notting Hill, les tatillons auraient aimé un peu plus de mordant et de charme. Les amateurs du genre, eux, trouveront ce qu'ils sont venus chercher : une comédie légère teintée de bons sentiments.

  5. Télérama
    par Aurélien Ferenczi

    Si les affaires de coeur des uns et des autres laisseront de marbre, en revanche la description de la vie d'une rédaction est très réussie.

  6. Le Monde
    par Thomas Sotinel

    Tout ce qui faisait la personnalité du film - l'irruption d'une fille du New Jersey dans la vie new-yorkaise, la rivalité entre deux stars issues d'univers opposés, le grand spectacle hollywoodien d'Harrison Ford et la sophistication new-yorkaise de Diane Keaton, la chronique précise d'un métier - s'efface derrière l'épanouissement de Becky Fuller. On finit par en vouloir à Rachel Mcadams d'être assez drôle et séduisante pour dissimuler la faiblesse croissante du film.

  7. A voir à lire
    par Jean-Patrick Géraud

    Une comédie pleine d’énergie mais très schématique, qui séduira uniquement les inconditionnels du gen

  8. Nouvel Obs
    par Olivier Bonnard

    Productrice junior embauchée pour rebooster l’audience de la matinale la moins regardée de la télévision, Becky (Rachel McAdams) recrute Mike Pomeroy (Harrison Ford), une ancienne légende du journalisme aujourd’hui au placard. Problème : Mike se croit très au-dessus de ce genre d’émissions, ce qui a le don d’insupporter sa coprésentatrice Colleen (Diane Keaton)… McAdams en fait des tonnes dans le rôle de la jeune cadre dynamique de service, sans pouvoir sauver cette comédie aimable mais générique, sorte de sous-« Broadcast News » cousu de fil blanc par la scénariste du « Diable s’habille en Prada ». Seul intérêt de l’affaire : Ford, qui, dans un rôle-miroir de roi déchu, va assez loin dans l’aigreur.